Le sujet de la configuration multi-langues est un sujet essentiel au démarrage d’un site. En effet, cela évite les déboires en référencement pays par pays. Certains webmasters ont pu d’ailleurs constater des différences de positions d’un serveur basé à l’étranger (1and1 en Allemagne, Infomaniak en Suisse, etc.) par rapport à un rapatriement vers un serveur en France.
Un internaute qui gère des sites multi-langues pose la question suivante:
Pour un client, nous avons une douzaine de sites séparés individuellement pour chaque pays et chaque langue. De plus, avec des extensions de nom de domaines différents mais sous une seule adresse IP. Est-ce un problème pour Google ou vaut-il mieux avoir une IP par pays ?
Depuis que Matt Cutts nous a annoncé en octobre 2012 que les sous-domaines sont notés au même titre que les sous-dossiers et en mai 2013 les évolutions des mises à jour sur le host clustering, on pourrait penser qu’il n’est plus nécessaire de se casser la tête pour aller chercher la meilleure configuration pour du référencement mutli-pays et multi-langues. Comme certains en étaient fan avec des montages techniques assez complexes.
Cela dit, ici Matt nous donne son avis sur sa configuration idéale des serveurs et des adresses IP, sans pour autant éviter le sujet des coûts supplémentaires engendrés. Voyons tout ça !
Tout est une question de budget pour ce type d’optimisation de configuration serveur. Bien que plus couteuse en ressources et en numéraire, la configuration idéale est de tout séparer par pays. C’est-à-dire :
Soit pour un meilleur référencement national dans chaque pays, séparer les sites. Ce qui peut être pratique si chaque site est géré par des centres de profit spécifiques, mais beaucoup moins si c’est la même personne qui doit s’occuper des mises à jour de tous les sites. Imaginez qu’une modification sur un site (nouveau service, produit, actualité, etc.) nécessite l’homogénéisation en modifiant tous les autres.
[box type=”info”]Configuration idéale : la séparation des sites sur différents serveurs, avec pour chaque pays l’IP correspondante.[/box]D’un point de vue matériel, il faut multiplier les serveurs par le nombre de pays. De ce fait, cela entraine obligatoirement des coûts supplémentaires et des frais indirects de mises à jour pour toujours garder les sites homogènes.
[toggle style=”closed” title=”Alternative simplifié : un serveur – une IP”]Les extensions de nom de domaines (TLD pour top level domain) sont des indicateurs qui permettent à Google de distinguer les sites entre eux. Les configurations de préférence du marché dans GWT permettent de cibler un site par pays, ce qui renforce l’appartenance au pays où l’on souhaite diffuser.[/toggle]En conclusion : Donc d’après Matt, les deux techniques fonctionnent. Le point à retenir est qu’il faut bien séparer les TLDs, et ne pas mettre toutes les langues sur un même site avec une seule extension de nom de domaine.
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